mardi 8 août 2017

Nicolas Joly Le vin c’est toute une Philosophie.

Nicolas Joly mon gourou et fut mon manuels scolaires de la vinification.

Pendant mes année études de sommelier je me suis passionné au vin de Nicolas Joly qui ma fait connaitre l’art en agriculture :

Comprendre que l’agriculture pourra redevenir un art ; l’art de savoir comprendre et utiliser a bon escient les forces qui donnent vie à la Terre. C’est avant tout cela, la porte ouverte par la biodynamie. Et c‘est à cause de cela qu’elle se développe surtout en viticulture, car elle touche une clientèle de passionnés de plus en plus sensible à la vérité d’un gout. Vérité du gout  « mot clef » sur lequel la presse viticole est étrangement silencieuse, muette même, pour quelles raisons a votre avis ?
Lorsqu’on regarde une fleur, on comprend que sa noblesse (couleur, odeur, arôme, forme) vient du monde solaire. C’est cette même force, qui se manifeste chaque fois différemment, qu’il faut intensifier dans un vin ou dans un aliment.




 C’est elle qui est la véritable origine de la qualité.
Lorsque la terre est trop livrée à elle-même, lorsqu’elle se coupe un peu de sa source solaire vitale, la sève redescend, les feuilles tombent, la gravité prend le dessus sur la lévité. Cela s’appelle l’hiver !
L’agriculture dite de « progrès »créée un hiver permanent en faussant la relation de la plante et du soleil, et la nouvelle génération de produit de traitement qui vont dans la sève, d’où leur nom de « systémique » et dans le fruit, accentue ce déséquilibre. Il faut aller dans l’autre sens. Arrêtons d’isoler la vigne en détruisant les sols qui ne sont alors plus des matrices qui accueillent le monde solaire (La Terre Mère disait les anciens). Arrêtons aussi d’isoler la vigne par le clonage ou la génétique, en cassant sa capacité à se lier à un monde invisible, subtil, qu’elle doit densifier toujours différemment en arôme dans son fruit.

Retrouver un art en agriculture : La biodynamie

Dans cette nouvelle approche on n’impose plus rien à la plante d’une manière aveugle du reste, on accroît seulement ses facultés de réception, « son acoustique » si vous voulez a ces forces qui lui donnent vie. On la rapproche de « sa force archétypale » ou de la matrice énergétique qui l’a modelée et incarnée. Le gène à lui seul est un leurre ; ce n’est que le 1er élément visible du plan énergétique qui l’a mis en place. Le monde scientifique le sait puisqu’il dit « ce n’est pas le gène lui-même mais ce qui est autour  qui agit ».  La génétique ne deviendra un progrès que quand on aura compris le système qui organise ou ordonne les gènes. Si cette étape n’est pas faite la génétique  devient un outil terriblement dangereux car porteur de forces intensément désorganisatrices qui dérangent, qui  agressent même,  le système  en charge de  créer un ordre  de vie sur la Terre. Et cela ne pourra aboutir qu’a plus de problèmes et de nécessité « d’assistanats arbitraires » que la collectivité devra une fois payer.


Le vrai progrès c’est comprendre comment un macrocosme, un monde énergétique, s’emprisonne, se sépare, et s’isole dans la matière .Comment chaque morceau du puzzle peut aider à refaire naître  le lien a une image globale, un tout énergétique. C’est cela un macrocosme qui devient un microcosme  On l’a déjà dans le mythe d’Isis et d’Osiris ou  Isis sur Terre  cherche désespérément les morceaux d’Osiris,  que Typhon (la gravité) a mis en pièce (incarnation ; séparation). Retrouver le lien au tout par la compréhension des parties est le travail que doivent entreprendre les scientifiques  .Et c’est cela que font  les préparations en biodynamie  à leur manière .Elles agissent finalement un peu comme de minuscules émetteurs/récepteurs liés a des processus très précis et qui peuvent éventuellement aboutir  ensuite sur le plan visible a des vies microbiennes etc.,  particulières, mais qui permettent surtout sur un plan qualitatif une harmonie.



Présentation du vignoble:
La Coulée de Serrant a été plantée au 12e siècle (1130) par des Moines Cisterciens et est toujours restée en vigne depuis. Le millésime 2013 est donc la 883e vendange consécutive. L’ancien petit monastère qui fait toujours partie de la propriété est classé à l’inventaire des monuments historiques.
Quelques centaines de mètres plus loin et adjacentes aux vignes on peut voir les ruines du l’ancienne forteresse de la Roche aux Moines qui gardait la Loire et ou le fils de Philippe Auguste fut vainqueur contre Jean Sans Terre fils de Richard Cœur de Lion, en 1214. Cette bataille est contemporaine de celle de Bouvines.
Adjointe a la forteresse, une allée fortifiée de 300 mètres, dite le « Cimetière des Anglais », également classé, permet aux visiteurs de voir en un coup d’œil le vignoble et la Loire en contre bas qu’elle domine. On trouve encore un peu partout sur ces lieux chargés d’histoire des vestiges d’un lointain passé incluant l’époque Celtique, Romaine et Carolingienne.
Le lieu est depuis resté célèbre. Louis XI en parle avec dévotion : « la goutte d’or ». Louis XIV tenta de la visiter dans un carrosse qui s’embourba  « le souverain en conçu quelques humeurs » dit la rumeur. Maurice Constantin Weyer en parle, Alexandre Dumas aussi, et plus récemment, au début du 20esiècle, Curnonsky, le prince des gastronomes, la définissait comme un des 5 meilleurs vins blancs de France.



Présentation du vin

Composé à 100% de chenin blanc cultivé à faibles rendements sur un sol de schistes et de quartz, ce vin blanc a été élevé en fûts de chêne pendant 6 à 8 mois.
L'AOC  Savonnières Coulée de Serrant se distingue par sa robe jaune dorée. Son nez s’ouvre sur un élégant bouquet de fleurs, de fruits blancs, d’agrumes et de notes miellées.
La bouche, élégante et expressive, est dotée de saveurs minérales et fruitées avec une belle longueur fraîche et toute en rondeur. A déguster sur un brochet, un poulet ou un homard en sauce. (97/100)


jeudi 27 juillet 2017

La guerre des bouchons, voici quelques informations utiles sur le bouchon.

Les discussions sont toujours très animées entre professionnels du vin ou entre amis autour d’une table lorsque la question est posée du bien-fondé ou non de boucher les bouteilles de vin avec des bouchons en liège,en plastique, a vis , a verre, ou DIAM. Il y a les défenseurs, les détracteurs, les dubitatifs et tous les à priori, les certitudes et les contre-vérités.



Les bouteilles bouchonnées sont une plaie. Aucun procédé alternatif n'est pour le moment satisfaisant ( Sauf que….)

Le bouchon en liège


Depuis la plus haute antiquité, le liège est utilisé pour boucher certaines amphores mais c’est au XVIIe siècle que ses propriétés furent redécouvertes en France par le moine Dom Pérignon.
Le liège possède des propriétés intéressantes puisqu’il constitue un corps d’obturation suffisamment élastique pour être facilement inséré dans le goulot lors de la mise en bouteilles, et plus tard aisément retiré au moment de la consommation. Il se révèle par ailleurs imperméable pour garantir la préservation du vin tout en possédant une neutralité chimique et il est imputrescible. Il permet des échange gazeux avec l’extérieur tout en restant hermétique.
La production de liège est cependant longue et coûteuse. Il faut en effet attendre entre 10 et 15 ans pour procéder à la première levée sur une chêne-liège, le plus souvent élevé dans le pourtour de la Méditerranée, puis 5 à 6 ans pour que le liège acquiert ses propriétés optimales.
Il jouit de l’image d’un produit noble qui généralement est associé à la qualité du vin qu’il accompagne, et les idées reçues ont la vie dure.
Son petit point faible est que parfois, selon la qualité, qu’ il existe plusieurs niveaux de qualité, ou selon les conditions de vieillissement du vin, est qu’il peut se dégrader et apporter un goût de bouchon rédhibitoire sur les arômes du vin.

Quels impacts sur l’environnement?

Les bouchons en liège présentent aussi des avantages environnementaux par rapport aux obturateurs alternatifs au niveau de la consommation de ressources naturelles, des émissions de gaz et particules vers l'atmosphère, des rejets de produits polluants dans l'eau et de la production de déchets.
Les paysages des forêts de chênes-lièges illustrent l'équilibre entre la préservation d'un écosystème (plantes et animaux rares) et le développement d'activités professionnelles raisonnées. Des reptiles aux lynx ibériques en passant par les oiseaux migrateurs, chaque espèce trouve ici la nourriture et l'espace nécessaires. Côté végétaux, les subéraies du bassin méditerranéen abritent plus d'une centaine d'espèces de plantes aromatiques culinaires ou médicinales. Et le chêne-liège est particulièrement résistant aux feux de forêts qui ravagent régulièrement le pourtour Méditerranéen. Pour les Hommes, ces écosystèmes offrent des opportunités de développement à des régions socialement et économiquement pauvres tout en préservant les sols face à l'avancée de la désertification.
De plus, les sous-produits issus des différentes étapes de fabrication des bouchons et non utilisables sont transformés en liège aggloméré et utilisés pour d'autres applications notamment dans l'architecture et la décoration.
Enfin, les bouchons sont entièrement recyclables. Récupérés, ils sont broyés en granulés de différentes tailles qui serviront principalement à la fabrication de matériaux isolants et de parquets. Dans tous les cas, les bouchons de liège ne seront pas recyclés comme bouchons.
Malheureusement, la filière de récupération des bouchons n'est pas encore mûre même si de nombreux projets en Europe et aux USA sont en cours et que des pays comme l'Allemagne ou la Belgique récoltent environ 10% des bouchons de liège utilisés sur leur territoire. Les professionnels du liège se mobilisent aujourd'hui pour une organisation . Certaines associations proposent de récupérer vos bouchons.

Le bouchon synthétique


L’idée d’un substitut au bouchon traditionnel en liège est née de la nécessité de répondre à une progression de la demande, à la baisse des coûts et à la problématique du goût de bouchon. Fabriqué à base de polymères et de gaz carbonique pour le noyau et de l’extrudage d’une peau extérieure en plastique flexible, le risque d’un goût de bouchon disparaît (à condition qu’il ne provienne pas de sa maturation en fût, ce qui est encore possible à cause du bois).
Le bouchon en plastique est souvent synonyme de vin « bas de gamme », ce qui n’est pas toujours vrai. La plupart des bouteilles de vin provenant d’ Amérique du Sud ou des pays de l’Hémisphère Sud en sont équipés. D’abord parce-que l’achat de liège en Europe est prohibitif et parce-que ces vins, destinés principalement à l’exportation, voyagent mieux ainsi.
Ils sont, par contre, beaucoup moins bien adaptés pour des vins de garde car ils ne permettent pas les échanges gazeux, ni une parfaite étanchéité à long terme. Ainsi vous ne trouverez jamais de bouchons synthétiques dans les grands vins de Bordeaux ou de Bourgogne.
Pour ou contre les bouchons en liège ou les bouchons synthétiques ?
L’utilisation du bouchon synthétique progresse sans pour autant s’imposer et répond avant tout à une préoccupation économique. Le rapport du prix du bouchon pour une bouteille de Bourgogne Aligoté n’a pas le même sens que pour une bouteille de Puligny-Montrachet 1er Cru par exemple.
Certains pensent que l’image d’un vin est plus dégradée par un goût de bouchon que par un bouchon synthétique.
Quels impacts sur l’environnement? Les bouchons synthétiques sont des produits à base de pétrole réclamant beaucoup d’énergie pour leur production, provoquant notamment des émissions d’hydrocarbure. On estime que la production annuelle de bouchons synthétiques représente la consommation de 1650 000 tonnes de pétrole, ce qui équivaut à environ 1 tonne de pétrole pour 13 000 bouteilles de vin. Le volume de bouchons synthétiques produit chaque année correspond à 1,3 milliards de sacs plastiques… Le plastique courant peut prendre entre 500 et 1000 ans pour se décomposer dans la nature., mais il existe aussi une gamme de bouchons synthétiques à empreinte carbone neutre désormais, et même il existe des bouchons réalisés à base de canne à sucre bio.

Capsule à vis



Les capsules ont été introduites depuis le début des années 1970 sur les marchés tout d'abord suisses, puis un fort développement en Australie et Nouvelle-Zélande (marque Stelvin). En France, ce phénomène est plus récent (les années 2000) avec des précurseurs comme André Lurton ou Michel Laroche. Deux types de joints adaptés selon les vins : Saran film étain ou Saranex ; l'œnologue choisit le joint en fonction de l'échange gazeux souhaité. L'avantage principal de la capsule à vis serait de maintenir « une qualité constante d'une bouteille à l'autre »
La capsule à vis paraît plutôt adaptée au bouchage des vins fruités (blancs, rosés ou rouges) d'entrée ou de milieu de gamme aux arômes sensibles à l'oxydation. La pratique prouve le contraire puisque quelques crus du Bordelais se sont déjà tournés vers la capsule à vis. D'un point de vue purement technique, de par son étanchéité à l'oxygène, la capsule à vis apparaît comme l'obturateur de choix pour le bouchage des vins dits "thiolés" comme les vins de Sauvignon ou de Colombard. Près de 100% des vins de Sauvignon de Nouvelle-Zélande, vins reconnus mondialement pour leurs qualités aromatiques sont capsulés.
Quels sont les inconvénients du bouchage ou de la capsule à vis ?
l'acceptation sur le marché français encore attaché au bouchage traditionnel liège. Il faut signaler que les marchés plus "sophistiqués" (anglo-saxons ou nord de l'Europe) s'en accomodent déjà depuis plusieurs années
compte tenu des faibles quantités de vins bouchés à l'aide de capsules à vis, il existe un léger surcoût (équipement, bouteilles bague BVS) par rapport à un bouchage traditionnel
absence de diminution de la teneur en gaz carbonique après 1 ou 2 ans de conditionnement comme c'est le cas avec un bouchage liège. Il faut ainsi contrôler avec rigueur la teneur en CO2 au moment de la mise en bouteille
réglage et entretien de la sertisseuse plus difficiles et plus techniques
l'apparition de goûts de réduction a parfois été signalé
La part de marché des capsules à vis pour les vins est en constante progression : plus de 3 milliards de bouteilles en 2008 dans le monde sur les 17 milliards de bouteilles (dont 300 millions en France). Les vins bouchés avec des capsules à vis sont souvent encore perçus comme des vins de piètre qualité.
En quelque mots le liège donne du fondu, alors que métal conserve le vif et le tranchant.

Quels impacts sur l’environnement? 

Avec lequel sont fabriquées les capsules à vis est extrait de mines de bauxite, dans des régions tropicales par les communautés de population indigène (nord de l’Australie, Amérique du Sud, Afrique). La production de ce minerai est responsable de la dévastation de nombreuses régions et de quelques merveilles de la planète comme la montagne Malanje au Malawi ou les baleines bleues de la rivière St Lawrence au Canada.
Selon le « Worldwatch Institute », l’industrie de l’aluminium est considérablement gourmande en énergie : elle consomme en un an presque autant d’énergie que l’ensemble du continent africain. Bien que l’aluminium soit recyclable, il n’y a pas d’assurance que les capsules à vis puissent être réellement recyclées, une grande partie des entreprises de recyclage imposent en effet que le joint synthétique qu’elles contiennent soit retiré ce qui pose de très grosses difficultés.

Bouchon en Verre, Vinolok


De plus en plus de vignerons sont séduits par le concept ! L’élégance et la facilité d’utilisation du bouchon en verre étant deux critères déterminants dans l’adoption de ce mode de bouchage. Mais ce n’est pas tout. Pour un bouchage complètement hermétique, et face à la concurrence de la capsule à vis, le bouchon en verre s’impose petit à petit et notamment grâce à son esthétique.
Preciosa, société basée en République Tchèque et spécialisée dans l’univers de la cristallerie, élabore un bouchon en verre recyclable baptisé Vinolok. Véritable révolution, il s’inspire des modes de bouchage des flacons en verre, n’altère pas le goût du vin et apporte une solide technicité à la bouteille. Selon Christophe Chapoulie, l’un des distributeurs de Vinolok et directeur commercial de Preciosa en France. En prime, ce bouchon s'adapte à la grande majorité des bouteilles avec tous types de capsules de surbouchage. Sérieux concurrent de la capsule à vis, le bouchon en verre ne saurait encore détrôner le liège et sa capacité de longue conservation du vin.
Bouchon en verre, vins de garde ?
Avec un recul de seulement 10 ans sur la garde et le vieillissement des vins rouges, il est difficile de définir précisément le potentiel du bouchon en verre. Pour l’instant, "80% du marché concerne les vins rosés ou les vins biologiques", explique Christophe Chapoulie. Quoiqu’il en soit, le bouchon en verre exclut les risques vin bouchonné… ! Et, si 200 propriétés l’ont déjà adopté, des tests sont en cours pour améliorer les performances de garde du bouchon et dépasser le critère esthétique ou hermétique comme élément décisif. Son prix ?Comptez 50 centimes l’unité contre 10 à 20 centimes pour un bouchon en liège. "Même s’il a un coût plus élevé, le bouchon Vinolok a un véritable impact puisqu’il augmente la décision d’achat de 30 à 40%chez le consommateur." Revers logique de la médaille, le vin est plus coûteux. Et pour certains vignerons, la décision d’opter pour le verre constitue, au-delà du simple investissement, une opportunité. "Certains en profitent pour dynamiser une gamme de vins ou démarrer un nouveau projet. Dans ce cas précis, le bouchon en verre agit comme un déclic !", souligne Christophe Chapoulie.

Quels impacts sur l’environnement? 

Il est recyclable, ce qui peut être un très bon argument pour les « bios » le verre seul matériau 100 recyclable bénéficie d’une filière entièrement consacrée à son recyclage.

Bouchon DIAM


Qui n'est jamais tombé un jour sur une bouteille bouchonnée ? Au début des années 2000, 5 à 10 % des bouteilles étaient touchées. Avec la montée de la concurrence, l'apparition des bouchons synthétiques et des capsules à vis, les fabricants de bouchons se sont mobilisés. Le principal acteur, Amorim, a fortement investi dans la recherche et a réussi à juguler le problème, sans toutefois le supprimer totalement.

Une approche originale est celle du bouchon Diam qui extrait le principal pollueur connu sous le nom de trichloroanisole (TCA). Le procédé est basé sur un brevet du Commissariat à l'énergie atomique (CEA) qui utilise les diverses phases critiques du gaz carbonique :le liège est réduit en poudre, on procède à l'extraction du TCA mais aussi de nombreux composants responsables de faux goûts, et on reconstitue le bouchon. Une usine qui utilise ce procédé complexe vient d'être construite en Espagne, près de la frontière portugaise, là où se trouve l'essentiel de la matière première.

Avec près d'un milliard de bouchons par an, Diam Bouchage fait sa percée, en particulier du côté des vins blancs qui sont les plus touchés par les défauts aromatiques. Des producteurs aussi célèbres que Cauhapé à Jurançon, Barmès-Buecher et Hugel en Alsace n'ont pas hésité à faire confiance au seul bouchon en liège garanti sans goût de bouchon. Mais le procédé est jeune et manque de recul. Aucun grand cru n'a encore tenté l'aventure.

Quels impacts sur l’environnement?

C’est un bouchon reconstitué, il contient des colles alimentaires. Elles ne semblent pas faire l’unanimité: on leur reproche leur nature de polymères (donc pas « naturelle »). L’inquiétude est là, pour le très long terme: comment se comporteront-elles? Il n’y a qu’une dizaine d’années de recul . Si pour l’instant, aucun souci n’a encore été constaté, certains restent méfiants.
L'impact le moins négatif revient incontestablement au liège naturel mais il reste difficile d'apporter une réponse précise et chiffrée. Pour la fabrication des capsules à vis, la transformation de la bauxite en aluminium demande beaucoup d’énergie. Ces impacts pourraient être réduits par la mise en place d'une filière de récupération, les capsules étant entièrement recyclables.




Voilà qu’est-ce qui faut savoir.
Et surtout n’oubliez pas de recycler vos bouchons. 
Voici quelque idée pour réutiliser vos bouchons:

En France on consomme 28 millions d’hectolitres de vin chaque année soit près de 12% de la consommation mondiale ! Du coup, ça en fait des bouchons en liège qui partent à la poubelle. Et si, au lieu de leur réserver ce triste sort, on choisissait de les recycler en leur offrant une jolie transformation. 
Recycler les bouchons en liège en accessoires de décoration
On n’y pense pas forcément mais le bouchon en liège a un vrai potentiel déco… même le jour d’un mariage, le DIY est une bonne idée. Dans la cuisine, les capacité de résistance du liège en font un atout certain et son aspect naturel confère beauté et style à des objets du quotidien : dessous de plat et de verres prennent une nouvelle allure ! Côté déco, on peut réaliser des tampons personnalisés pour customiser papeterie et tissus, des tableaux d’affichage très pratiques et même des bougeoirs ! Pour un mariage ? Les bouchons deviennent des portes-noms avec beaucoup de style … A vous de jouer !
-  Reboucher une bouteille, il existe une astuce toute simple pour reboucher les bouteilles qu’on n’a pas finies. Il suffit de plonger le bouchon dans l’eau bouillante pendant 10 minutes afin de le ramollir… Lui rendre, ensuite, sa fonction initiale devient un jeu d’enfant !
-  Eviter que les fruits s’abîment trop rapidement. Un bouchon en liège coupé en deux et posé dans la corbeille de fruits permet de retarder la maturation des fruits et d’éviter qu’ils noircissent et pourrissent trop vite.
-  Sauver le frigo. Odeur désagréable et persistante dans le frigo ? Un simple bouchon de liège peut sauver votre odorat. Installé dans le réfrigérateur, il capte les mauvaises odeurs.



samedi 24 octobre 2015

Muscadet en Belle Garde Au Clos des Bouguignons.

Passant dans le coin, avec mes parents s’arrêtant pour leur achat de Muscadet au Clos des Bourguignons. A ma grande stupéfaction je découvre un Muscadet extraordinaire.
Présentation du vignoble:

Le Gaec LUNEAU Michel et fils, une exploitation viticole familiale. Viticulteurs de père en fils à Mouzillon depuis au moins cinq générations, les Luneau sont implantés à Mouzillon, en Loire-Atlantique, en plein coeur du vignoble de Muscadet Sèvre et Maine. Les actuels propriétaires du Domaine, Thierry et Stéphane, ont su, en succédant à leurs parents Michel et Lucienne, conserver le caractère traditionnel de l'exploitation, en privilégiant l'accueil, le savoir-faire et la qualité.En lutte raisonnée depuis le début des années 90, Thierry et Stéphane exploitent aujourd'hui 35 hectares de vignes, principalement en Muscadet Sèvre et Maine (blanc), mais également en Gros-Plant du Pays Nantais(blanc), Sauvignon (blanc), Chardonnay (blanc), Cabernet Sauvignon (rosé), Gamay Noir (rouge), Cabernet Franc et Merlot (rouge).Réunion de deux familles de vignerons depuis les années 1860, Michel Luneau succède à son père, Stanislas, et s'installe avec sa femme Lucienne, en 1968 sur une surface de 6,50 ha. Le domaine s'agrandira ensuite régulièrement


Muscadet Sève et Maine 2003 Mouzillon-Tillieres . « Tradition Stanislas »Clos des Bourguignons.




Dégusté Juillet 2015 Vin issu d'une démarche de reconnaissance d'appellation communale, anciennement appelée les "RUBIS de la Sanguèze". Sélection des meilleurs terroirs, contrôles stricts des rendements, vendanges vertes si nécessaire, élevage long sur lies de fermentation, et "validation sensorielle qualitative" confèrent à ce crû du Muscadet des qualités hors-normes. Belle robe jaune d'or, cristalline et brillante. Nez offrant une complexité rare, puissant et parfumé : tilleuls, cire d'abeille, pâte de coing, notes grillées... Bouche ample, riche, généreuse et suave, équilibrée par une juste fraîcheur. 11Euro. Excellent qualité prix Score 79 /100

Muscadet Sève et Maine sur lie « vin de Mouzillon »
Terroir puissant de Gabbro, ancienne roche magmatique cristalisée, ce Muscadet se caractérise par son évolution lente. Encore jeune la première année, il se bonifie au fil du temps jusqu'à "Meursaulter" à partir de quatre ans. Muscadet de garde par excellence, ce terroir produit également le cru communal" Tradition Stanislas" (Muscadet Sèvre et Maine Mouzillon-Tillières). Belle robe claire et brillante. Nez minéral et iodé jeune, de fruits mûrs et d'agrumes par la suite, puis "boisé" pour les plus vieux millésimes, ce "Vins de Mouzillon" est vif en bouche, riche, minéral et persistant, avec l'élégance d'un vin de terroir au beau potentiel d'évolution. L'âge complexifiera ses parfums, et lui donnera encore plus d'ampleur en bouche. 2014 Score 63 /100. 2013 avec un peu plus d’oxygène le vin s’ouvre sur de formidable note de crème pâtissière. Score 67 /100 4 Euro encore très bon qualité prix.
MUSCADET ET TON HISTOIRE On connait tous le Muscadet ou le Gros Plant, une origine qui remonte à l’époque romaine. Comme dans le plupart des régions viticoles françaises, la vigne a probablement été introduite dans la région nantaise par les Romains à partir du premier siècle avant Jésus Christ. C’est avec le christianisme que la viticulture prend véritablement son essor du fait du besoin de vin pour l’office et pour remplir sa mission d’hospitalité. Ainsi, au VIème. siècle, Saint Martin fonde à Vertou une abbaye. Il plante de la vigne et organise ainsi le vignoble au sud de la Loire. Cependant, les invasions barbares – des Normands et des Bretons principalement – empêchent le développement paisible de la vigne du VIIème. au Xème. siècle. En 843, les Normands brûlent Nantes et le vignoble est totalement détruit. L’implantation définitive de la viticulture dans la région nantaise date des Xème. et XIème. siècles. L’identité du vignoble se forge avec l’arrivée du cépage melon. Le cépage actuel du MUSCADET est originaire de Bourgogne et de Franche Comté. Il s’agit du melon blanc apparenté au gamay noir à jus blanc. On trouve les premières traces écrites de ce cépage en Pays nantais au milieu du XVIIème siècle. Il serait arrivé avec des Bourguignons qui auraient apporté dans leurs bagages, vers 1635, un cépage aux feuilles rondes nommé le Melon. Le Melon B. s’est imposé définitivement après l’hiver 1709 particulièrement rigoureux qui a détruit une partie du vignoble. Bénéficiant de condition économique favorables et sous l’impulsion du négoce hollandais, le vignoble s’est considérablement développé aux XVIème et XVIIème siècle avant de subir d’importantes destructions suite à la révolution française puis, plus tard à la crise phylloxérique. Le Muscadet, une des plus vieille Appellation d’Origine Française En 1925, 8 vignerons de La Haye-Fouassière pressentent que la garantie de l’origine de leur vin est indispensable pour le consommateur. Grâce à leur dynamisme ils obtiennent dès 1936 la reconnaissance par l’Institut National des Appellations d’Origine créé l’année précédente des appellations Muscadet « Sèvre et Maine » et « Coteaux de la Loire » en 1936 et Muscadet en 1937. Depuis la Seconde Guerre Mondiale, le vin nantais est devenu un produit d’exportation et poursuit sa politique d’amélioration de la qualité. En 1954, le Gros Plant et le Gamay ( en Coteaux d ‘Ancenis) ont obtenu l’Appellation d’Origine Vin Délimité de Qualité Supérieure. Plus récemment en 1994 l’A.O.C. Muscadet Côtes de Grandlieu a été reconnu en tant qu’Appellation sous régionale en Muscadet portant ainsi à 3 le nombre d’appellations sous régionales en Muscadet : Sèvre et Maine, Coteaux de la Loire, Côtes de Grandlieu. Les 4 appellations Muscadet 11 500 Ha. Déclarés en production de monocé page blanc. On connait tous le Muscadet ou le Gros Plant, une origine qui remonte à l’époque romaine. Comme dans le plupart des régions viticoles françaises, la vigne a probablement été introduite dans la région nantaise par les Romains à partir du premier siècle avant Jésus Christ. C’est avec le christianisme que la viticulture prend véritablement son essor du fait du besoin de vin pour l’office et pour remplir sa mission d’hospitalité. Ainsi, au VIème. siècle, Saint Martin fonde à Vertou une abbaye. Il plante de la vigne et organise ainsi le vignoble au sud de la Loire. Cependant, les invasions barbares – des Normands et des Bretons principalement – empêchent le développement paisible de la vigne du VIIème. au Xème. siècle. En 843, les Normands brûlent Nantes et le vignoble est totalement détruit. L’implantation définitive de la viticulture dans la région nantaise date des Xème. et XIème. siècles. L’identité du vignoble se forge avec l’arrivée du cépage melon. Le cépage actuel du MUSCADET est originaire de Bourgogne et de Franche Comté. Il s’agit du melon blanc apparenté au gamay noir à jus blanc. On trouve les premières traces écrites de ce cépage en Pays nantais au milieu du XVIIème siècle. Il serait arrivé avec des Bourguignons qui auraient apporté dans leurs bagages, vers 1635, un cépage aux feuilles rondes nommé le Melon. Le Melon B. s’est imposé définitivement après l’hiver 1709 particulièrement rigoureux qui a détruit une partie du vignoble. Bénéficiant de condition économique favorables et sous l’impulsion du négoce hollandais, le vignoble s’est considérablement développé aux XVIème et XVIIème siècle avant de subir d’importantes destructions suite à la révolution française puis, plus tard à la crise phylloxérique. Le Muscadet, une des plus vieille Appellation d’Origine Française En 1925, 8 vignerons de La Haye-Fouassière pressentent que la garantie de l’origine de leur vin est indispensable pour le consommateur. Grâce à leur dynamisme ils obtiennent dès 1936 la reconnaissance par l’Institut National des Appellations d’Origine créé l’année précédente des appellations Muscadet « Sèvre et Maine » et « Coteaux de la Loire » en 1936 et Muscadet en 1937. Depuis la Seconde Guerre Mondiale, le vin nantais est devenu un produit d’exportation et poursuit sa politique d’amélioration de la qualité. En 1954, le Gros Plant et le Gamay ( en Coteaux d ‘Ancenis) ont obtenu l’Appellation d’Origine Vin Délimité de Qualité Supérieure. Plus récemment en 1994 l’A.O.C. Muscadet Côtes de Grandlieu a été reconnu en tant qu’Appellation sous régionale en Muscadet portant ainsi à 3 le nombre d’appellations sous régionales en Muscadet : Sèvre et Maine, Coteaux de la Loire, Côtes de Grandlieu.

mercredi 15 juillet 2015

Coup de cœur Chambolle-Musigny ,aussi estimée qu'un grand cru.

-Chambolle Musigny Hudelot-Noellat 2001

Présentation du vin: Le Chambolle-Musigny est un vin rouge présenté souvent comme le plus « féminin » de la Côte de Nuits. L’intensité et la finesse s’y expriment en effet avec une élégante subtilité Présentation du domaine: Fondé en 1962 par Alain Hudelot, le domaine s'agrandit dans les années 1970 grâce à l'apport des vignes d'Odile Noëllat, son épouse, et compte 10 ha aujourd'hui. Ce domaine est mieux connu à l'étranger qu'en France malgré l'extraordinaire pedigree de ses propriétés (Romanée Saint-Vivant, Clos-Vougeot, Suchots, Beaumonts, Chambolle Charmes, Nuits Murgers etc ....). Ces vins sont souvent introuvables en France, la production étant généralement pré-vendue à l'export. La maîtrise des rendements et une vinification qui respectent la typicité des raisins et des terroirs, sont les principes qui font que les vins produits dans ce domaine sont exceptionnels Dégusté Juin 2015 fruit mûr épicé, le pruneau, ou vers la truffe, le sous-bois et l’animal. Riche, bouqueté et complexe, il tapisse le palais de soie et de dentelle. Sa délicatesse charnue ne l’empêche pas de conserver une structure solide et durable. Les tanins restent caressants. Score 98 /100

vendredi 1 mai 2015

Caro mai peu cher, en Argentine

Caro 2001 Mendoza, Argentina Présentation du vin : CARO, pour CAtena et ROthschild, présente une identité argentine portée par le malbec et une élégance et une complexité du fait de son association avec le cabernet sauvignon. La synthèse donne un vin voluptueux et raffiné, qui équilibre harmonieusement l’identité argentine et le style bordelais. Le succès des premiers millésimes de CARO (2000, 2001, 2002) a conduit les partenaires à concevoir un vin dans la tradition argentine à dominante Malbec. Les Malbec viennent de Vistalba, La Consulta, Tupungato et Agrelo (vignoble de plus de 30 ans d’âge moyen, situés entre 800 et 1400 m. d’altitude). Les Cabernet Sauvignon viennent histoire l e v i g n o b l e B d’Agrelo et la Consulta (vignoble de 20 ans d’âge moyen, localisés entre 950 et 1150 m. d’altitude). 65 à 75% Cabernet Sauvignon, 25 à 35% Malbec. 3 000 à 6 000 caisses Dégusté Mai 2015

Lumineux rouge rubis. Profondes mûrs, arômes subtils, de framboise, de groseille, de fleurs et le chocolat. WOW - un nez très impressionnant, et encore beaucoup de malice. Vineux et pénétrant, mais aussi de façon transparente lisse, avec des arômes de fruits-driven de framboise et de cassis encadré et porté par belle acidité. A la texture et le poids de Bordeaux, même si elle est encore un peu étroitement enroulé. Finitions de très longues et juteux, avec des tanins nobles. Ceci est une joint-venture entre Catena et Lafite-Rothschild, qui est à peu près aussi impressionnant pedigree que vous trouverez dans le vin argentin ". "Dans un style plus traditionnel, avec le Cabernet dominant, car il montre la terre sucrée, de cassis et de cèdre séché notes sur un cadre élégant riche. Score 91 /100

jeudi 12 mars 2015

Un grands vin en Languedoc-Roussillon

Château Lascaux 1996 Coteaux du Languedoc

Présentation du vin: Le terroir du Pic Saint Loup est le plus septentrional des vignobles de l’appellation Coteaux du Languedoc. Il bénéficie d’un microclimat unique. Bien que seulement distant d’une vingtaine de kilomètres du littoral méditerranéen, il se situe déjà à une altitude moyenne de 150 mètres, au cœur de la garrigue, sur les premiers contreforts des Cévennes. La température diurne y est pratiquement aussi élevée qu’en bord de mer, pouvant atteindre jusqu’à 40°C fin juillet-début août. En revanche, la température nocturne est, elle, nettement inférieure et notamment à partir de la mi-août où il n’est pas rare qu’il y ait une différence de l’ordre de 5 à 6°C avec le littoral. En raison de ce microclimat plus frais, marqué par des variantes thermiques importantes, le cycle de maturation des raisins est plus long dans cette région que dans les autres vignobles du Languedoc. A titre d’exemple, il n’est pas rare que les Syrah soient vendangées début octobre, comme cela est aussi le cas dans les Côtes du Rhône Septentrionales. Ce microclimat confère aux vins du Pic Saint Loup une fraîcheur et une finesse nulle part connues dans le reste du vignoble languedocien. Sous réserve du respect de certaines conditions de production plus spécifiques que celles des Coteaux du Languedoc, les vins rouges et rosés du Pic Saint Loup peuvent être commercialisés sous l’appellation Coteaux du Languedoc suivie de la dénomination Pic Saint Loup. Les vins blancs en revanche sont commercialisés sous la seule appellation Coteaux du Languedoc. Syrah: 60%Grenache: 30% Mourvèdre:10% Dégusté Mars 2015 Cette cuvée est essentiellement composée de syrah et élevée en fûts en partie neufs. La robe commence à montrer un début d'évolution. Le nez présente au premier abord des notes animales assez grossières qui ont tendance à s'estomper à l'aération pour laisser place à des notes plus agréables, fruitées, empyreumatiques (fumé, tabac) et épicées (pain d'épices). Vin déniché dans cave perso Score 80 /100

jeudi 1 janvier 2015

La visite rêver , un peu perdue nous passons dans la région Kamptal. Bonne Niche a Dolle

Grand Froid , vent, et neige , nous sommes sauvegarder par une région viticole.


Kamptal est l'une des régions viticoles les plus réussies et foyer de la plus grande ville viticole en Autriche A bonne surprise la qualité du vin en visitant le vignoble de Peter DOLLE

Dans la troisième génération, construit en 1765, la société mère Dolle est maintenant plus de 40 ans, dirigés par Peter Dolle senior qui agit toujours comme un vigneron. les vignobles de la tradition autrichienne, situé dans la région viticole de strass Basse ville autrichienne de Kamp, situé 60 kilomètres à l'ouest de Vienne.


le Kamptal CAD définit les vins issus de Grüner Veltliner ou Riesling dans deux styles , un vin moyennement corsé de style classique et un style riche de réserve


Kamptal offre une variété de terroir , allant de loess au gravier cristallins sites et grès feldspathique rouges et conglomérats , comme sur le Heiligenstein hautement considéré . Le nom dérive du soleil éclatant qui causent un microclimat chaud et sec . Le développement géologique de la roche est assez particulier , est entre 320 et 250 millions d' ans , formés conditions désertiques comme un dépôt Flashflood et comprend des particules volcaniques .

Riesling sont plantés , produisant des vins puissants , de minéraux ayant un potentiel de garde exceptionnel . Mes favoris le Grüner Veltiner qui a été situé à ce jour à l'époque romaine avec son nom dérivé de la Valteline (Valtellina) dans le nord de l'Italie le raisin est probable autochtones à l'Autriche le nom actuel Apparu dans un document pour la première fois en 1855 -... avant que le temps ne connaître que ce que Weißgipfler ce est seulement en les années 1930 Grüner Veltliner établi que le nom standard du raisin. Jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, il est Considéré comme juste un autre cépage autrichienne. Nez de poire mûri qui se retrouve en bouche, beau fruits et d'épices, des notes de poivre, des herbes et la fusion intense. Pas mauvais du tous, voir fantastique.

Erste Lage Grüner Veltliner Heiligenstein Reserve 2012 Stocké pendant 10 mois sur lies, un Veltliner Grüner avec de riches, émail mou et un vaste tiroirs à épices. En bouche, poire, herbes sauvages, des notes d'agrumes et de la belle minéralité en mesure Heiligenstein. Brillant à effet de serre, grand potentiel.

Erste Lage Grüner Veltliner Alte Reben Reserve 2013 Épais, serré et se referment, ce Veltliner, qui est vinifié à partir 80 années vieilles vignes; clair, concentré, épices crémeuse vin accentué avec des arômes d'herbes de jardin, beaucoup de fruits et des notes minérales, tout extensions fines et très élégante; longueur sans précédent,frais, fruité et facile! Parfum de pommes fraîchement coupées, herbes sauvages, joliment acidité fédérale confère au vin une formidable fraîcheur, avec sa faible teneur en alcool lui permet de se boire avec toutes facilité